Désolé, j’ai la flemme de traduire pour ceux qui ne parlent pas rosbiff, et on a pas ce passage dans notre Wikipedia français… Voilà ce que je viens de trouver sur cette merveilleuse encyclopédie, à la page nymphomanie/hypersexualité:
« Many Victorian era mental institutions treated nymphomania as an exclusively female mental illness. Women were classified as mentally ill for nymphomania if they were a victim of sexual assault, bore illegitimate children, masturbated or were deemed promiscuous. Upon arrival at the asylum, doctors would give the woman a pelvic exam. If doctors felt that the woman had an enlarged clitoris, she would undergo treatments. These treatments included induced vomiting, bloodletting, leeches, restricted diet, douches to the head or breasts and at times, clitoridectomies. »
Décidément, j’aurais aimé vivre à cette époque. Au moins, aucun risque de se retrouver avec une femme qui se masturbe. Alors qu’aujourd’hui, on les laisse tout faire et à ce train là, elle vont finir par réclamer des orgasmes.
Non mais sérieux, je croyais pas que c’était à ce point là OO
Da Kirst
Ben du coup j’ai fait la connaissance du bon Dr Baker Brown. Thank you ! Ca devrait occuper ma soirée. La clitoridectomie… Vaste sujet… Apparemment y a aussi des auteurs grecs qui déblateraient déjà sur les bienfaits de cet acte chirurgical pratiqué par des gynécologues pour soigner des pathologies psychiatriques. Je vais chercher… Y a du bon dans les arrêts maladies, on a du temps. La semaine dernière j’ai étudié les huiles, ça me changera.
Da Kirst
Tiens ton blog il a une heure de décalage horaire, c’est bizarre.