J’èspère que vous avez survécu. Votre serviteur n’avait pas fait gaffe qu’une partie des ressources qu’il avait décidé de ne plus payer étaient encore utilisées par le serveur… Ben oui, y’a un an, chez Gandi, on comptait presque uniquement en parts de serveur, alors qu’aujoud’hui, on peut acheter des tranches de disque, de RAM ou de CPU à l’unité. Ca demande un peu plus d’attention.
Voilà qui est réparé. Je sais que je fais déjà de la pub pour eux dans un coin de cette page mais c’est l’occasion de venter une fois de plus la qualité du service client de Gandi, le seul hébergeur chez qui je n’ai pas à poser 10 fois la question avant d’obtenir une réponse précise, techniquement complète et adaptée. No bullshit!
Toutes des salopes
Désolé, j’ai la flemme de traduire pour ceux qui ne parlent pas rosbiff, et on a pas ce passage dans notre Wikipedia français… Voilà ce que je viens de trouver sur cette merveilleuse encyclopédie, à la page nymphomanie/hypersexualité:
« Many Victorian era mental institutions treated nymphomania as an exclusively female mental illness. Women were classified as mentally ill for nymphomania if they were a victim of sexual assault, bore illegitimate children, masturbated or were deemed promiscuous. Upon arrival at the asylum, doctors would give the woman a pelvic exam. If doctors felt that the woman had an enlarged clitoris, she would undergo treatments. These treatments included induced vomiting, bloodletting, leeches, restricted diet, douches to the head or breasts and at times, clitoridectomies. »
Décidément, j’aurais aimé vivre à cette époque. Au moins, aucun risque de se retrouver avec une femme qui se masturbe. Alors qu’aujourd’hui, on les laisse tout faire et à ce train là, elle vont finir par réclamer des orgasmes.
Non mais sérieux, je croyais pas que c’était à ce point là OO
Mala’s got a lover
Hier soir, une nouvelle incroyable est tombée dans toutes les boites mails. Pour ceux qui habitent en Haute-Saone, je précise: Il y a quelqu’un dans la vie de Mala. Je n’ai aucun nom, aucune photo, pour ainsi dire aucun détail, mais nos envoyés spéciaux à *** sont déjà sur le coup. On èspère très vite des photos inédites et si possible très suggestives. En attendant, comme j’ai paumé le dossier de presse de la dame jeune fille, j’ai essayé de mettre quelque chose de sympa en illustration. Et si vous êtes volontaires, n’hésitez pas, on a encore plein de copines à caser. Ah oui, et le titre est une brillante référence culturelle bande d’ignares.
Fixette
Ca faisait longtemps que c’était pas arrivé et on aurait pu penser que le fait d’avoir enfin trouvé une fille qui me supporte aurait fait cesser ce genre de choses, mais… Mais voilà, je suis à nouveau tombé éperdument amoureux d’une chanteuse. Bien entendu, comme toujours, ça n’a rien, mais alors absoluement rien à voir avec un quelconque attrait physique, mauvaises langues que vous êtes. Hum, ça va peut être être plus difficile à vous faire avaler si je vous avoue que c’est arrivé lors d’un concert ou elle n’assurait que les choeurs, et encore, pas tous, puisque la jeune fille accompagne actuellement Gaëtan Roussel en tournée. Pourtant, c’est bien sa voix (un peu) mais surtout son énaurme présence scénique (entre elle et Jo Dahan, la scène est pleine, si ils sortent un DVD, ils ne faudra filmer que ces deux là) qui m’ont immédiatement convaincu de son génie. Forcément (comme toujours également), vous n’êtes pas obligés d’être d’accord avec moi, mais je vous invite à écouter le bousin (cliquez sur la photo, direction Deezer, etc, etc). Au menu, des paroles déjantées, des airs faussement naïfs et un rock privé de ses références habituelles puisque comme le dit la dame, « du rock, j’en écoute pas, j’en fait ». Et en plus, elle joue de la batterie debout comme Moe Tucker…
Jouer aux meilleurs point and click de tous les temps pour pas un rond
J’enrage, car le net regorge de jeux gratuits absolument fantastiques, mais souvent difficiles d’accès pour les véritables boulets de l’informatique. Comme j’en connais quelque uns (une?) que ces jeux pourraient fortement intéresser, et que je m’emmerde aussi fermement en ce moment, j’ai décidé de prendre mon courage à deux mains et d’essayer d’écrire un petit tuto. Avec un peu de chances, ça fera le bonheur de quelqu’un.
Bien entendu, c’est pour toi Mala, cette page là. Je sais que ça te gonfle de faire l’effort mais putain, si ça peut te motiver, retourne là jeter un oeuil aux jeux qui t’attendent, il y a quand même quelques merveilles intemporelles dans cette listes.
Je vais prendre pour exemple un des points and click qui m’ont le plus marqué, toute époque confondue, Gabriel Knight. Il a le mérite d’être assez vieux pour tourner sur tous les PCs encore en vie, mais assez récent pour avoir plus de 16 couleurs, ainsi que d’avoir une ambiance originale.
Técharger et installer dosbox
Dosbox est un émulateur Dos, parceque beaucoup de ces jeux sont sortis à une époque ou Windows n’existait pas, ou si peu, et était inutilisable pour faire des jeux. Il va donc falloir installer une petite fenêtre noire et moche pour jouer à ces trucs. Windows contient un émulateur dos intégré, mais vous n’aurez pas beaucoup de succès avec celui là. Il est d’avantage là pour pallier au triste manque d’invite de commande sous Windows que dans un réèl souci de compatibilité ascendante.
Tout d’abord, allez ici et téléchargez la dernière verion de Dosbox (package win32 installer, normalement sur la première ligne), puis exécutez le fichier. Bien entendu, chaque fois que Windows ou votre antivirus vous demande si vous êtes bien certain de ce que vous faite… L’installation est très simple, cliquez sur next, next, close. Il n’y a rien à faire, et un icone dosbox apparait sur votre bureau. Ne le lancez pas pour le moment, ça ne vous aiderait pas.
Allez plutot trouver un endroit sur un de vos disques dur ou il y a un peu de place et créez-y un dossier « dosbox », et un sous dossier « c ». Ensuite, lancez dosbox (ça y est, vous avez le droit). Deux fenêtres s’ouvrent (houlà, c’est compliqué). La première s’appelle « Dosbox status window », elle n’est là que pour vous donner quelques infos. La seconde s’appelle « Dosbox » (avec le numéro de version et plein de trucs avec), c’est là qu’on tapera les commandes.
Tout d’abord, vous allez regarder la fenêtre « status windows ». Dedans, il vous dit (en anglais) qu’il a créé un fichier de configuration par défaut , et il vous dit ou (quelque chose du genre c:blablabladosbox-0.74.conf, ou le blabla dépend de votre version de Windows). Allez ouvrir ce fichier avec le bloc notes et ajoutez à la fin (tout à la fin) la ligne suivante: « mount c x:dosboxc ». Vous tappez ça sans les guillemets, et en remplaçant x par la lettre du lecteur ou vous avez créé le répertoire dosbox-c. C’est tout, Dosbox marche, nya plus qu’à installer des vieux jeux dos dans le répertoire dosboxc. Quand vous serez dans Dosbox, le disque dur C: que vous verrez sera en fait le répertoire dosbox-c. Si vous ne comprenez pas ce que ça veut dire, pas grave, ça vous empêchera pas de jouer. Quittez dosbox (tappez « exit » dans la fenêtre de commandes, ou alors fermez les fenêtres comme une brute).
Télécharger et installer Gabriel Knight
Voici l’adresse d’une des pages ou on peut télécharger le jeu en version française. Cliqez sur le lien pour télécharger la version cd. Sauvez le fichier quelque part, pas dans votre répertoire dosbox-c. Pour la suite, il va vous falloir le logiciel winrar, mais je refuse de croire que vous ne l’avez pas encore ou que vous n’arriverez pas à installer ça tout seuls… Un click droit sur le fichier téléchargé (.rar) vous permettra d’extraire son contenu. Vous vous retrouvez avec un fichier .iso. Encore un click droit sur ce dernier, et choisissez d’en extraire (encore) les fichiers dans un répertoire nommé g:dosboxgk. Ajoutez à votre fichier dosbox-0.74.conf la ligne « mount d g:dosboxgk -t cdrom » et enregistrez (à ajouter toujours tout à la fin).
Vous pouvez lancer à nouveau dosbox. Dans ce dernier, tappez « d: », puis « install ». Vous allez être guidé par un programme d’installation à l’ancienne. Changez la carte son pour une « Sound Blaster Pro » pour être certain d’avoir du bruit, ne touchez pas au reste. Choisissez l’installation « mini », car vous n’aurez pas de problème de vitesse de lecteur cd avec cette méthode.
Pour jouer, vous n’avez plus qu’à lancer dosbox et à tapper « cd sierra », puis « gkcd », et c’est parti. Un petit détail important pour ceux qui n’ont même pas connu l’époque de l’émulateur dos de windows, l’appui simultanné sur les touches « Alt » et « Entrée » permet de passer en mode plein écran et d’en revenir. Bon, je vous laisse essayez ça. Motivez-vous bordel, ce jeu est gratuit et 100 fois mieux que ceux que vous trouverez à 5 euro au Carrouf. Si vous avez du mal, n’hésitez pas à vous permettre de me faire un petit mail.
Statistiques
Bon, pour ceux qui étaient là samedi soir et qui sont profs de math, voilà la question posée par écrit…
A ma droite, un Space Marine du chapitre des Blood Angels, armé d’un storm bolter et d’un gant énergétique (appelé mouffle dans le milieu). A ma gauche, un Genestealer Tynanide avec sa bite et le couteau (ou accessoirement trois paires de griffes). Au centre, les règles de Space Hulk, le jeu de plateau, et non celles de Warhammer 40K. J’ai pas vérifié mais je pense que ça change tout, ou sont passées mes sauvegardes de 2+? Mais je m’égare encore…
Le Marine lance un dé et y ajoute 1. Le Stealer lance trois dés et garde le plus grand. Si le Marine le souhaite, il peut alors obliger le Stealer à relancer un de ses dés. Puis, toujours s’il le souhaite, il peut relancer le sien. Les nouveaux scores des dés relancés sont toujours conservés, même si pire que le précédent. Le marine ajoute toujours 1 au dé qu’il lance, même lorsqu’il s’agit d’une relance. Lorsqu’il perd, le Marine déclenche systématiquement les relances. Si le résultat est nul, le Marine laisse couller.
La question est, quelle est la probabilité que le Marine arrive à décrocher un nul? Une victoire?
Ca c’est le cas d’un marine en défense, et qui a eu le temps de se mettre en garde. Les autres cas intéressants sont:
– pas eu le temps de se mettre en garde: pas de relance du dé marine;
– le marine attaque, donc le nul n’est pas une option: relance si nul, dans ce cas, le marine n’est jamais en garde;
– marine avec marteau de guerre et bouclier: 1d+2 au lieu de 1d+1. Pas de relance du dé stealer, le stealer ne lance que deux dés au lieu de trois.
Si vous avez le courrage…