• Passer à la barre latérale principale
  • Skip to content

Le blog de Totoche

Weblog à  thématique floue et à  périodicité douteuse

Ces animaux qui ont une tête de bite

Culture


Tout le monde connait la célèbre palourde royale qui, si comme moi vous êtes pas très fin, vous a bien fait rire le jour ou vous avez découvert son existence. Mais il existe sur cette planète des choses qui défient l’imagination. Au delà des zones explorées par l’être humain, cachés dans les profondeurs de la terre ou des océans, vivent des être plus anciens que l’humanité et dont les images blasphématoires hantent nos cauchemars les plus fous. Rarement, très rarement, il arrive qu’un chercheur, aveuglé par la curiosité, s’aventure dans les domaines interdits qui sont ceux de ces créatures. Il ne saurait en ramener beaucoup plus que la folie, et les images et les récits qu’il rapporte s’évanouissent bientôt dans l’incrédulité générale, laissant l’humanité à sa rêverie naïve de sécurité.

Seul ce phénomène de déni devant l’horreur de la réalité d’êtres qui nous dépassent peut expliquer que la nouvelle de la découverte de plusieurs spécimen d’Atretochoana eiselti en 2011 ai fait si peu de bruit. Visiblement, l’animal avait déjà été rencontré par des chercheurs à au moins deux reprises. A chaque fois, c’est la même chose. Des hommes découvrent l’impensable et se lèvent pour faire connaitre la vérité au monde entier, pour ne rencontrer que l’incrédulité apeurée de leurs semblables, incrédulité qui se mue rapidement en indifférence, seule protection des foules contre les réalités insoutenables que suggèrent ces images. Mais grâce à moi, vous aussi, maintenant, vous savez. Vous avez contemplé l’indicible en face et vos nuits ne seront plus jamais paisibles. Ne me remerciez pas.

… et viendez passer un peu de votre vie sur SWTOR pour peanuts, aussi, pendant que vous y êtes

Culture

Pendant que mon nouveau jeu favori offre un week-end gratuit pour les pauvres, celui qui m’a fait basculer du côté obscur du RPG sur micro s’offre le premier stade d’une maladie incurable annoncée. Le modèle économique de The Old Republic n’était pas viable, tout le monde le sait, tout le monde l’annonce depuis longtemps, et les cyniques en ricanent depuis la sortie du jeu. Le modèle scénarisé ne retient pas le joueur de MMO de base, les gens s’ennuient et en ont marre de payer pour refaire en boucle les mêmes quêtes et missions PVP.

Pour ma part, je ne suis toujours pas arrivé au bout du levelling, et il me reste encore de beaux jours à m’amuser sur TOR. Ma seule crainte là dedans, c’est de ne pas être foutu de trouver le temps de profiter de l’ensemble du contenu avant que le jeu ne disparaisse. Le bon côté des choses, c’est que l’arrivée du mode Free To Play va permettre à n’importe quel gars motivé pour jouer mais pas pour raquer de venir grinder du mob à coup de sabre laser avec moi. Dés le mois d’août, le jeu passe à 13 Euros avec un mois d’abonnement gratuit, de quoi attendre le F2P en s’amusant un peu. Ce dernier devrait arriver en automne (pas de date précise), sans qu’on sache s’il faudra encore aligner quelques euros pour acheter le jeu pour en profiter.

Alors, je peux comprendre que vous ne soyez pas motivés pour payer une fortune pour jouer à TSW avec moi (mais ce week-end, c’est gratuit, je me répète, non?), mais avec une offre pareille, dites moi un peu ce qui vous retient de venir essayer le MMO de Bioware? Et ne me dites pas que vous avez une vie, je ne vous croirais pas. Idéal pour un joueur occasionnel, parfait pour jouer un peu en solo et grouper de temps en temps, SWTOR est un MMO rêvé pour le dilettante, et dans lequel on a le privilège de pouvoir jouer avec moi (pourvu qu’on joue Sith et sur le serveur Mantle Of The Force), alors pourquoi s’en priver? Si vous faites un effort, je vous promet que je viendrais jouer avec vous à Diablo 3 quand il passera en F2P (parcequ’on sait bien à qui je m’adresse, hein…), même si il faut avouer que TSW risque de devenir gratuit bien avant (vous avez qu’à jouer à des jeux d’avant garde, vous aussi).

Viendez passer un week-end dans le monde secret

Culture

Celà fait maintenant plus d’un mois que je ne suis plus là. Bien entendu, j’ai du comme chaque année disparaitre des mondes virtuels une quinzaine de jours pour aller trainer mon corps en vacance sur les chemins de montagne, histoire de lui faire prendre l’air, mais il n’y a pas que ça. Inutile de me chercher sur The Old Republic, sur Uru Live, ou même sur un forum quelconque: ma vie est dédiée à l’exploration d’un monde nouveau. The Secret World, c’est LE MMO, celui que j’attendais depuis des années et qui remplira ma vie pour j’èspère plusieurs douzaines de mois. Plus encore que SWTOR, peut être plus encore que les MMOs Word of Darkness et Warhammer 40k (qui ne verront à priori jamais le jour, ou alors pas avant longtemps, tant mieux pour ma bourse et ma vie sociale), j’ai longtemps rêver de mettre mes pattes sur cette petite merveille.

Et je ne suis pas déçu, loin de là. Un univers attachant et plein de références, des auteurs qui savent poser une ambiance sans se prendre au sérieux à l’excès, des missions soignées, des énigmes et enquêtes et pas seulement du bourinage et une communauté à la hauteur, il y a de quoi combler le geek le plus exigent dans ce truc. Que vous soyez fans de Lovecraft, de Clive Barker ou de R.A Wilson, vous en aurez pour votre argent. Pour votre argent par ce que la chose, avec jeu à acheter et abonnement mensuel, fait plutot partie des passes temps onéreux. Cependant, comme vous rêvez d’y gouter quand même, Funcom a pensé à vous et propose l’accès gratuit à son jeu durant tout le week-end qui vient (du vendredi 3 août à 18h au lundi 6 août à 9h). Vous avez bien lu, vous pouvez accéder à cette merveille pour peanuts, ni achat ni abonnement, pendant 2 jours et 3 longues soirées. Juste au cas ou vous seriez assez désœuvrés/intéressés pour tenter l’expérience, je ne peux m’empêcher de relayer l’information.

Pour en profiter:

  • téléchargez le client ici. Vous pouvez vous y prendre à l’avance, l’engin étant assez lourd à télécharger;
  • créez un compte à cette adresse.

Vous n’aurez alors plus qu’à attendre ce week-end pour rejoindre les heureux asociaux qui passent leur vie sur ce jeu. On ne sait jamais, ça pourrait même vous donner envie de l’acheter. Si vous cherchez à me joindre, demandez Lamadh dans la ville de Seoul, dimension Drac (triturez vous l’oreille gauche devant le portier de l’aéroport en rotant et en tappant du pied, il vous indiquera la marche à suivre).

Update binouze: vous en aviez rêvé…

Culture

Bon, autant commencer par les choses triviales et dire en deux mots que la double IPA I Beat You de la brasserie Mikkeller (Danemark), que j’ai découverte depuis mon dernier poste, s’inscrit avec bonheur dans la lignée des bières dont je parlais il y a un mois. Texture épaisse, forte en alcool, et dose massive de houblons qui vous décape la gueule. Autant j’avais quelques réserves sur les IPAs aux 19 houblons de la marque, autant j’avais détesté leur Stout tourbée, autant je suis devenu inconditionnel de celle-ci.

Mais venons en aux choses sérieuses. Nous sommes tous, autant que nous sommes, à la recherche de la bière qui à la fois sera une expérience transcendantale, comme peut l’être la dégustation d’une Achel triple ou d’une des double IPAs sur lesquelles je m’étale ces temps-ci sur mon blog, et ne contiendra pas la moindre goute d’alcool, parcequ’être saoul tous les soirs à notre âge, c’est mal, mais que quand on a bu une bonne bière, on s’en enfilerait quand même bien cinq ou six autres juste pour le plaisir. C’est la Brasserie du Mont Salève qui m’a offert, pour la première fois de ma vie, une lueur d’espoir dans le domaine. Leur Sorachi Ace Bitter, une bière de soif, légère et très amère, est basée sur un houblon japonais qui ne manque ni de saveur ni de finesse. Légère, très légère en bouche, elle donnerait presque l’impression de boire de l’eau gazeuse tant le malt se fait discret, si le houblon ne venait pas rapidement vous en coller une derrière les oreilles pour vous rappeler que ce que vous enfilez dans votre gosier, c’est bien une binouze, et une fort bonne, d’ailleurs.

La brasserie du Mont Salève contourne donc le problème de la bière sans alcool en levant largement le pied sur le malt, tout en gardant un processus de fermentation qui ne doit pas trop différer de l’habituel, et en chargeant sur l’amertume pour donner de la personnalité à la chose. Et comme le houblon est d’une variété noble et pas une des merdes qu’on nous sert dans la grand distribution, le résultat est absolument fantastique. Bien entendu, à l’heure de l’apéro, on apprécie toujours quelque chose de plus costaud. Mais au retour d’une bonne marche, ou au moment de passer à table (quand l’envie d’une seconde bière vous démange, comme il est coutume après l’apéro), c’est une pure merveille. J’allais oublier de préciser le degrès d’alcool… Ce n’est pas 0, on y est pas encore, mais avouez qu’à deux degrés cinq, on peut quand même s’en enfiler quelques unes sans crainte excessive de sombrer dans l’alcoolisme. Seul problème, comme toutes les bières basées sur un houblon un peu classieux, elle est chère, très chère. Mais honnêtement, quand vous l’aurez goutée, vous aurez du mal à ouvrir une Buckler.

Trois brasseries hype qui ne font ni de la flotte, ni du soda

Culture

Maintenant que le buzz des chtits est passé, il est à nouveau ringard de boire de la bière du nord ou de la belgique, et à nouveau très hype de boire des trucs qui viennent d’ailleurs. Raison de plus pour ne pas toucher à ces machins de provenance douteuse, qui de toutes façons s’apparentent le plus souvent à de la flotte au houblon (au fait, Tof, je te confirme que ma Red Stripe est bien une import, et que je ne la trouve pas moins dégueulasse).

C’était compter sans mes potes d’Hyper Boisson, toujours prêts à me faire jeter mon pognon par les fenêtres pour gouter quelque fantastique nouveautée. Je me suis donc retrouvé à boire des trucs venant d’Ecosse, du Canada et des Etats Unis assez régulièrement ces derniers temps. Et contre toute attente, certain de ces produits m’ont absolument embalés.

Great Divide, tout d’abord, propose quelques petites merveilles à l’amertume violente et typique des houblons qu’on cultive de l’autre coté de l’Atlantique. Je suis particulièrement emballé par plusieurs variantes de leur Stout Impériale, la Yéti. On citera en particulier celle qui a vieilli sur des copeaux de chène et du café expresso. Ca vaut des points. Je suis également amoureux de leur double IPA, dont l’amertume vous poursuit de longues heures durant. Je suis un peu moins convaicu par leur Smoked Baltic Porter, troisième variété que j’ai pu gouter, qui manque un peu de personalité par rapport aux deux autres.

Flying Dog propose des blondes un peu moins violentes sur le houblon, même si j’aime tout de même bien leur double IPA, qui fait un apéro tout à fait décent. C’est surtout du coté des brunes que j’aprécie leur travail, avec une porter dédiée à la mémoire de Hunter Thompson et qui ne manque pas de personalité, ou encore une Cofee Stout plus sucrée que celle de Great Divide, sans tomber dans l’indécent bien entendu.

Brew Dog, enfin, représente l’archétype de la bière que je n’aurais jamais achetée si je m’étais arrêté à l’étiquette (et au prix…). Comment ne pas se méfier d’une brasserie qui se définit comme « the epitome of pure punk »… Et on aurait bien tort. Leur Hardcore IPA, sous un nom accrocheur à souhait, cache une amertume à la fois très marquée et bien complexe, du genre qui non seulement reste longtemps sur le palai mais de plus y ramène régulièrement notre attention de par ses subtilités. Leur Tokyo, une stout hyper forte et légèrement acide, n’est pas sans intérêt non plus, quoi que franchement surprenante. Il me reste pas mal de choses à gouter chez eux, car je reste pour l’instant coincé sur la Hardcore qui est devenu mon apéro favori, mais il faudra que je m’intéresse au reste… sans aller jusqu’à tester la Tactical Nuclear Penguin (une bière dont le degré d’alcool est augmenté via un genre de distilation à froid utilisant la différence de température de congélation de l’alcool), parcequ’une canette à 60 euros, faut pas déconner non plus, hein…

Totoche.org hacké!

Annonces

Well, sous cette annonce accrocheuse se cache le fait que le serveur comme les applis, pas mis à jour depuis le lancement, commençaient à dater sérieusement. Du coup, les leaks prolifèrent et les virus aussi. L’antivirus de Virginie commençant à crier très fort à chaque visite, les bouts de codes pas vraiment sollicités apparaissant comme par miracle en début des pages PHP, il était temps de faire quelque chose.

La migration a été l’occasion de faire peau neuve: changement de thème, l’ancien n’étant pas trop widgetisé et mes plugins ayant du mal à le supporter et changement de logiciel pour les albums photos, Zenphoto étant remplacé par un Gallery 3 plus sexy. Il reste quelques bricoles à arranger concernant le look du blog mais globalement, je suis très content du changement. Le zoli style à base de framework Genesis est infiniement plus simple à tweaker que le template bien rustre précédent.

Concernant la migration technique, il y a eu un changement de DNS qui me pose quelques problèmes. Vous risquez donc de ne voir ça que d’ici quelques jours. Les flux RSS changent de place, donc les abonnés sont priés de mettre à jour leur lecteur (et on les préviens comment, hein?). Pour ceux qui reçoivent les mises à jour par mail via feedburner, ça doit normalement être transparent.

  • « Aller à la page précédente
  • Aller à la page 1
  • Aller à la page 2
  • Aller à la page 3
  • Aller à la page 4
  • Aller à la page 5
  • Pages provisoires omises …
  • Aller à la page 10
  • Aller à la page suivante »

Barre latérale principale

Weblog à thématique floue et à périodicité douteuse

Abonne-toi

Tu n'as pas le niveau pour savoir ce qu'est un flux RSS (putain de lamers)?
Saisie ton mail ici!

Tag Cloud

actualité BD bière caca chien chimie cinéma cuisine décomposition enfants figurines Guitare histoire jeux vidéos journée de merde malavita musique OVNIs pharmacologie photos science fiction warhammer 40k zoologie énigmes

WP Cumulus Flash tag cloud by Roy Tanck requires Flash Player 9 or better.

Photos

Recherche

Catégories

  • Annonces
  • Art
  • Culture
  • Humeur
  • Liens
  • Mathématiques
  • Non classé
  • Nouvelles
  • Tuto
  • Voici voilà

Méta

  • Connexion
  • Flux des publications
  • Flux des commentaires
  • Site de WordPress-FR

Citation

“It only takes 20 years for a liberal to become a conservative without changing a single idea.”
Robert Anton Wilson

Copyright © 2025 · Essence Pro sur Genesis Framework · WordPress · Se connecter